Les questions les plus fréquentes

La sécurité sociale ne rembourse pas les séances de sophrologie mais certaines mutuelles prennent en charge une partie des frais sur présentation d’une facture.

  Tout d’abord, nous avons tous des résistances au changement, nos souffrances sont devenues des habitudes familières qui nous font souffrir et nous rassurent en même temps. 

De plus, se faire accompagner, faire confiance et s’ouvrir à une personne inconnue requiert un certain courage, ce n’est pas une démarche facile, on peut être tenté de remettre à plus tard, d’attendre que la situation soit devenue littéralement invivable.

Enfin notre société stigmatise encore trop souvent les thérapies, comme si elles étaient réservées à « ceux qui n’arrivent pas à s’en sortir seuls » et cela peut générer une honte ou un sentiment d’échec. En réalité se regarder en face grâce au miroir d’un thérapeute est un acte qui relève du courage.

La détente se ressent dès la première séance. Ensuite, vous apprenez à la réactiver grâce à l’enregistrement audio des exercices pratiques. Par ailleurs, le fait de partager votre problématique nous amènera à élaborer, à interpréter, ce qui permet de comprendre, de soulager, de se sentir entendu.

La suite dépend de votre pratique personnelle, de votre capacité à vous ouvrir par la parole et dans les ressentis corporels et de la régularité des séances. 

La sophrologie a vocation à être brève en thérapie et à vie en temps que méthode de développement de la conscience. Quand vous allez mieux, vous aurez des outils à utiliser en autonomie.

C’est en faisant l’expérience sur moi-même des bienfaits de la sophrologie et de la pertinence de la psychanalyse que j’ai eu envie d’en faire mon activité.